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Louis Kwarakwante / Caliheue

Many of the Iroquois who stayed in the North West married Métis women. Like the Métis, they were often seen as interlopers; not accepted by local First Nations. In this area, the Métis were predominantly Catholic, which made them ideal spouses for the already Catholic Iroquois. The genealogical record shows that there were many marriages and alliances with Métis families in the areas where Iroquois settled.

The Iroquois came from a society of strong clan-mothers, and had no difficulty transitioning to Cree and Métis traditions where women are the bearers of culture within the family. The wives’ families outnumbered the Iroquois-speaking men, so the men learned to speak the local dialect, whether Michif (the language of the Métis) or Cree. Mothers, and their extended families, also taught children their own language and culture.

One of the Iroquois that came west was Louis Kwarakwante of Sault St. Louis. He was also known as Louis Callihoo or Louis l’Iroquois. In 1800, when he was 18, he signed on for two years with the North West Company. Louis then went with a group of some 40 Iroquois men to the Hudson’s Bay Company’s Fort des Prairies (Edmonton), staying with that company until the 1840s. Once his formal contract was completed, he became a “freeman”, continuing to hunt and carry freight on a freelance basis. These freemen mostly associated with other freemen and their families, forming their own extended family groups.

Louis first married Marie Katis, a Sekani woman, and had eight children with her. Louis’s second and third wives were two Métis sisters, Josephte and Marie Patenaude, He had another two and seven children respectively with each. He settled with some of his extended family in what is now Jasper National Park. Louis died around 1846 and was buried in the Wilmore Wilderness area. The number of his descendants continued to grow, spreading out to establish and join many other communities.

Image Credits: North West Company / La Compagnie Nord-Ouest


Plusieurs des Iroquois qui sont restés dans le Nord-Ouest ont marié des femmes métisses. Tout comme les Métis, les Iroquois étaient vus comme des intrus et n’étaient pas acceptés par les Premières Nations locales. Les Métis de cette région étaient surtout catholiques, ce qui faisait d’eux des époux idéals pour les Iroquois qui étaient déjà catholiques. Les records généalogiques indiquent qu’il y a eu plusieurs mariages et alliances avec les familles métisses dans les endroits où les Iroquois étaient établis.

Les Iroquois provenaient d’une société de fortes mères de clan et ils n’avaient eu aucune difficulté à adopter les traditions des Cris et des Métis où les femmes sont les porteuses de la culture au sein de la famille. Les familles des épouses surpassaient le nombre d’hommes parlant l’iroquois, alors ces hommes ont appris à parler le dialecte local; soit le michif (la langue des Métis) ou le cri. Les mères et leurs familles enseignaient aussi leur langue et leur culture aux enfants.

Un des Iroquois dans l’ouest était Louis Kwarakwante de Sault Saint-Louis. Il était aussi connu sous le nom Louis Callihoo ou Louis L’Iroquois. En 1800, à l’âge de 18 ans, il a accepté un contrat de deux ans avec la Compagnie Nord-Ouest. Ensuite, il s’est joint à un groupe de 40 hommes iroquois de la Compagnie de la Baie-d’Hudson au Fort des Prairies (Edmonton) jusque dans les années 1840. Une fois son contrat formel terminé, il est devenu un « homme libre » et a continué à faire la chasse et à transporter des marchandises indépendamment. Ces « hommes libres » s’associaient principalement à d’autres hommes libres et leurs familles, formant leur propre groupe de famille élargie.

La première femme à Louis, Marie Katis était une femme Sekani. Ils ont eu huit enfants ensemble. Sa deuxième et sa troisième femme étaient deux sœurs métisses, Josephte et Marie Patenaude. Il a eu deux enfants avec Josephte et sept enfants avec Marie. Il s’est installé avec une partie de sa famille élargie dans l’endroit connu aujourd’hui comme étant le Parc National de Jasper. Louis est décédé autour de l’an 1846 et a été enterré dans la région de Wilmore Wilderness. Le nombre de ses descendants continuait de s’accroitre et ils se sont répandus pour s’établir et rejoindre plusieurs autres communautés.